La première phrase est toujours la plus importante #8 « L’armée furieuse »
« Il y avait des petites miettes de pain qui couraient de la cuisine à la chambre, jusque sur les draps prores où reposait la vieille femme, morte et bouche ouverte »
Publié le 1 septembre 2013, dans Première Phrase, Très cher Journal,..., et tagué Fred Vargas, L'armée furieuse, Première phrase. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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